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Roman

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Mémé…menémené ?

(Dans la page LIENS références des billets suivants)

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CHOCOLAT !

giflfotat.gifLe troisième trimestre fut stressant.
Il fallait réussir tous les contrôles. En deuxième année 30% de places en moins. Plus d’une élève sur quatre.
Or, toutes les classes étaient relativement homogènes.

- Vous avez les résultats de l’interro d’économie dans ton groupe ?
- Euh…annoncé pour la semaine prochaine.
- Je peux marcher avec toi ?
- Bien sûr. Vous avez fait celle « d’étude de cas » ?
- Non, elle aura lieu, en principe, vendredi prochain. Comme vous. Nous aurons le même sujet.

Elle était contente d’avoir une compagne pour remonter l’interminable avenue qu’elle s’évertuait à parcourir à pied pour économiser deux tickets.
Les deux étudiantes avançaient en slalomant entre les cagettes des primeurs qui installaient un marché, sur un tiers de la distance, sur le trottoir.

- Heureusement qu’on circule mieux le soir ! Quelle cohue !
- Arrivées. Tu m’attends à la sortie ce-soir ? On pourrait remonter ensemble ?
- Volontiers. Bon courage !

Elles se séparèrent en souriant. Chacune rentra dans sa classe. A partir de ce-jour elles prirent l’habitude de s’attendre à 17 heures pour regagner le centre ville.
Les retrouvailles du matin étaient plus aléatoires. Réveil. Circulation. Nan prenait toujours une marge de sécurité pour ne pas arriver en retard. Pas Béatrice.

- Vive la fin de la semaine ! Crevée !
- Tu as fini « l’étude de cas » ?
- Oui. Si on considère que pour le tableau on pouvait mettre le brouillon,  faute de temps…
- Cinq heures, c’est trop juste. Il y a trop de problèmes à résoudre.
- Faut faire un topo de l’ensemble. Commencer par les questions les plus cotées.
- Vidée ! Je m’arrête chez le chocolatier de la place. Entre avec moi. Je vais te faire connaître ses fabrications. Son chocolat en lingot d’un kilo. Divin !

C’était la première fois que Nan achetait du chocolat au poids, coupé comme un morceau de pâté chez le charcutier. Chocolat pur. Simple. Légèrement sucré et lacté.  Hum ! bon pour le moral !
Elles partagèrent ce « vice » hebdomadaire pendant toute la fin du trimestre.
Elles réussirent leur passage en deuxième année.

(A suivre – p173) ©

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CHAUFFARD !?

giflfotat.gifLe temps était doux. Elle avança à grands pas.
Ouvrit le portail deux kilomètres plus loin. Ramassa trois romaines. Regarda dans les nids. Testa quelques radis ; trop tôt.
Redescendant le chemin elle vit la porte du garage du voisin s’ouvrir ; un jeune homme crocheter les deux battants puis démarrer en trombe.

- Alors Nanette, on revient du jardin.  Tu as vu ce cinglé ! Il a failli me renverser.
- Bonjour Mr Jean ! Vous reveniez de la fontaine ?
- Eh oui ma jolie. J’ai besoin de beaucoup d’eau pour mes semis. Ça me fait une balade de santé. Une fois le matin. Une fois le tantôt. Bien le bonjour chez toi !
- Embrassez bien Mme Jean pour moi. J’irai la voir avant de partir.
- Tu sais qu’elle aime bien tes visites. A plus tard.

Brève amicale accolade. Le vieux pensionné de guerre et Nan se séparèrent contents de s’être croisés.
Les Jean l’aimaient bien. Ils la connaissaient depuis toute petiote. Quand Emma dépassait « Les Arquets » pour atteindre leur petite maisonnette.
Elle appréciait la bonne humeur de ce couple que les malheurs et les ans n’empêchaient pas de se chahuter comme des tourtereaux…

Broum ! Vroum ! Broum ! Vroum !
- Mais il est fou ! s’exclama-t-elle comme elle arrivait au « Bien-être ». Il a failli m’accrocher.

Elle monta les quelques marches du pérron. Ouvrit la porte.

- Pas d’oeuf sup. Radis trop jeunes. voilà trois salades. J’ai aperçu le fils du navigateur. Il a failli renverser Mr Jean. M’accrocher juste à l’arrivée. C’est un danger ce gars !
- Tous les gens trouvent qu’il conduit trop vite. Surtout dans cette rue si étroite. Il aura des problèmes un jour.
- Lave les salades et essore-les. Je prépare la vinaigrette.
- Mets de l’ail.
- A toi l’honneur de battre l’omelette,
dit le grand-père.
- Si le fils mettait le couvert, il se rendrait utile renchérit Nan.
- Pas un travail d’homme !

Repas simple. Succulent.
Puis la mère proposa une partie de belote…le temps du repos digestif. Table débarrassée. Essuyée. Mains lavées. Ainsi fut fait.
Les hommes contre les femmes.

(A suivre – p 172) ©

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COMMUNIQUER !

giflfotat.gifRetrouver des gens qui parlent ! Expriment leurs pensées. Leurs humeurs. Interrogations. Banalités, etc…C’était bon !
Inutile de se tracasser pour savoir ce qu’ils pensaient. Si ça allait. Si ça n’allait pas. Tout était évacué sans frein.
Parfois le silence aurait été préférable…
Mais à choisir, valait mieux avoir à trier soi-même. Prendre ou négliger en faisant la part des choses…
Le mutisme engendrait tant de souffrance morale.

- Tu as encore le temps de retourner au Bastidon chercher une salade…
Si grand-père mange avec nous y’a pas assez.
- S’il le faut.
- Regarde aussi si les poules n’ont pas pondu à nouveau. L’omelette sera plus copieuse.
- D’accord !
- Vas’y en vélo ! Tu iras plus vite ! Ramène aussi des radis. J’aime bien.
- Gros malin. C’est parce que je ne sais pas en faire ! Vas’y toi !
Pourquoi c’est toujours moi !
- Arrêtez de vous disputer ! Lui ira chercher des tomes chez grand-mère.

Frère et soeur échangèrent un regard noir.
Ils n’étaient pas souvent ensemble ; mais chaque fois il ne cherchait qu’à la provoquer. Lui donner des ordres, comme la mère.
Or, un commandant dans la famille : ça suffisait !

(A suivre – p 171) ©

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MORILLES !…

giflfotat.gifMarchant lourdement, aidé de sa canne, le grand-père revenait de sa recherche pour des champignons.

- La villa de la voisine a été vendue.
- Tu as trouvé des morilles ?
- Té, regarde dans mes poches.
- Quelles sont belles ! Quel parfum !
- Té. Regarde dans l’autre.
- Tu as trouvé des truffes ?!
- Trois. Elles sont un peu petites mais parfumeront bien une omelette.
- Où les as-t-u trouvés ?
- Ça c’est un secret !

Le grand père tapota les morilles, pour détacher la terre qui aurait s’y trouver, les déposa délicatement dans l’assiette que lui tendait sa petite-fille. Racla les truffes. Les déposa à côté.

- Je m’invite à midi. Tu prépareras l’omelette. Demain j’irai chercher le chevreau. Gaston m’emmènera.

- Qui a acheté ? Demanda la mère.
- Un navigateur. Je l’ai vu. Je lui ai parlé.
- Toi tu parlerais à un…
- Maman !
- Ton grand-père ferait parler une statue.
- C’est un capitaine au long cours. A la retraite. Ils s’installent à l’année. Mais, il n’a pas bonne mine…Paraît qu’il a un cancer…
- Il te l’a dit ?
- Non. On le dit en ville.

Nan retrouvait des gens qui parlent !

(A suivre – p 170) ©

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DEPAYSEE !

giflfotat.gifLe deuxième trimestre s’achevait.
La dernière lettre hebdomadaire de Baudoin précisant les préparatifs pour son voyage dans le nord repliée, elle scruta le quai.
Il l’attendait.
Ils commencèrent par saluer le père dans sa petite usine. Puis rejoignirent la mère occupée dans le pavillon familial en campagne.

La semaine s’écoula. douce. Étrange. Monotone.
Les parents étaient charmants. Très gentils avec elle. Mère effacée. Père gouailleur.
Les visites aux proches lui laissèrent un goût bizarre. C’était un milieu flamand bourgeois et très conservateur…où les conciliabules en néerlandais la mettaient mal à l’aise.

Le pays était d’une platitude étonnante. Le ciel bas. Bas !
Des villes irradiaient une force, une solidité, une sévérité…obtenues par les immeubles en grès aux fenêtres en ogives sculptées.

D’une manière générale les gens parlaient peu.
Un profond sentiment de solitude la saisissait le soir dans sa chambre.
Elle avait besoin d’échanger des idées, des impressions. Désirait partager un projet. Souhaitait être une partenaire sur tous les plans.
Vivre un amour réciproque dans une ambiance certes besogneuse, ils étaient de cette ultra-large majoirté des gens ayant besoin de travailler pour vivre, dans l’effort mais une atmosphère plus légère…

Ce fut un plaisir immense de retrouver, la deuxième semaine de Pâques, son Bastidon !…nimbé par un Râ généreux, signalant les violettes cachées le long du chemin…
Que sa Provence était belle !

(A suivre – p. 169) ©

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REVEILLONS !…

giflfotat.gifLes deux réveillons furent épiques.
Mets fins dressés sur des plats en argent.
Adresses dans des banlieues huppées. Des domaines privés entourés de murs avec gardiens aux grilles.

Aucunes étrennes !
Exténuant de trouver ces résidences de luxe…
Instructif cette engeance…surtout pour qui étudiait la sociologie !

Globalement, sur la quinzaine, ils observèrent que les riches donnaient peu ou rien.
Les petits retraités des immeubles bourgeois du centre ville une pièce de cinq francs.
Les habitués avaient de la monnaie divisible par deux, car ils savaient qu’il y avait un conducteur, que ce job saisonnier était effectué par une équipe de deux étudiants.

C’était d’ailleurs cette classe moyenne qui les recevait le plus poliment ou aimablement.

Les autres, qui recevaient souvent des cadeaux d’une valeur d’un salaire légal, ouvraient à peine leur porte ; le temps pour eux, ou leurs gens de maison, de saisir le paquet, signer le bon. Battant aussitôt claqué !

A la fin de la période, n’ayant jamais fait faux bond, ils furent retenus pour l’année suivante. Ils touchèrent leur rémunération, moins importante que les étrennes, en espérant qu’à la prochaine saison on leur attribuerait plus de tournées intra-muros !

(A suivre – p.168) ©

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LIVRAISONS

giflfotat.gifLe premier trimestre finissait.

- Tiens. Tu as une lettre de ta copine de la sécu.
- Tu l’as ouverte !?
- Non. Ses coordonnées sont au dos. Que veut-elle ?
- Attends que je rentre. Me change. La lise !

Nan rangea ses vêtements. Mit sa tenue d’intérieur. Se servit un verre d’eau. Ouvrit son secrétaire. Lut le courrier.

- Elle me propose de travailler quinze jours avec elle. Pendant les vacances de Noël. Livraisons de chocolats, cadeaux,traiteur…
J’irai à son rendez-vous, samedi prochain devant Jourdan. Ça me fera de l’argent de proche.
Au fait, ton ami a terminé la veste en cuir que tu lui as commandé…avec l’argent que j’ai gagné cet été ?

- Pas encore. Tu as raison d’accepter.
J’enverrai ton frère avec le grand-père.
Je resterai ici. Il fait trop froid, l’hiver, dans cette maison. Maintenant que nous avons le chauffage central, je n’ai plus l’habitude…

Eliane l’attendait comme convenu.
Elles se dirigèrent ensemble vers la boutique de l’artisan chocolatier-traiteur. Le patron les inscrivit. Format les équipes.
Deux par véhicule. Une fille qui livrait. Un garçon qui conduirait.
Paiement à la livraison. Les étrennes pour eux.
La patronne établissait et distribuait les tournées incessantes.

Ainsi fut fait. Véhicule attribué. Chargement. Livraison. Rechargement. Jusqu’à 21heures, sauf pour les deux réveillons.
Ces deux soirées-là ils livrèrent jusqu’à deux heures du matin.

Pour toucher une rémunération décente, il fallait livrer un maximum de fois. La circulation en ville était un frein démoniaque. Des adresses incomplètes compliquaient le travail dans la grande périphérie.
Surtout des petits malins essayaient de permuter l’ordre des tournées afin de n’avoir que des livraisons en centre ville pour avoir plus de rotations.

Il fallut deux ou trois fois « râler » fort pour que la patronne mette le holà.
Ils arrivaient de nuit. Vers 7h30.
Travaillaient tard. Généralement après avoir chargé le fourgon pour le première livraison du lendemain.

Son coéquipier était étudiant en médecine. La déposait au pied de son HLM le soir. La récupérait le lendemain matin.
Fallait avoir du tonus et pas « Deux pieds dans le même sabot » !

 (A suivre – p. 167) – ©

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ATTENTIVE

giflfotat.gifIl passa l’heure qui restait à attendre à lui raconter ses études. Ses premiers emplois. Son engagement dans une grande société. Sa fonction. Ses espérances. Les problèmes humains ou techniques rencontrés.

Elle l’écoutait silencieusement.
Il était heureux d’avoir trouvé une oreille attentive.
Quand le patron vint les prévenir qu’ils allaient être en retard, ils sortirent précipitamment. Se séparèrent copains.
Il avait quitté le masque du dragueur beau gosse, sûr de lui, pour offrir le visage serein d’un gars à l’aise dans ses baskets.

Il prit l’habitude de s’asseoir à côté d’elle. De parler de tout. De rien. Des déboires privés. Des déceptions professionnelles.
Lui confiant souvent :  » Je me sens bien près de vous »,  » Comme si j’avais une soeur… », ‘ » Vous dégagez quelque chose d’apaisant », « Il en aura de la chance »…

Elle parlait peu. Jamais de ses pensées intimes. Parfois des incidents des cours. Le plus souvent de l’actualité.

Le soir, ses devoirs accomplis, il lui arrivait de s’interroger : qu’est-ce quelle « dégageait » ?
Timide. Réservée. Intimiste. Plusieurs fois les réactions des autres l’avaient surprise.
Élue de sa classe. Choisie comme chef d’équipe. Sollicitée pour donner son avis sur une question.
Elle n’était pas une « bout entrain ».
N’était pas recherchée pour le statut social de ses parents.
Pas enviée pour ses modestes  »toilettes »…
Non.
On venait vers elle quand on avait un problème ou voulait un conseil.
Serait-elle une forte présence discrète ?
Voyait-on en elle un noyau attirant des valeurs irréductibles ?
Par moment elle sentait une force surnaturelle en elle.
Pas pour briller.
Pour continuer sur un chemin…

(A suivre – p.166) - ©

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CIGARETTE

giflfotat.gifElle ne savait pas qu’elle contenance prendre. Se sentait rougir.
Les clients du bistrot les regardaient. Elle aurait voulu devenir invisible. S’appliqua à lire, annoter l’article commencé.

- Allez ! Pardonnez-moi ! Je suis un rustre, mais un gentil. Amendable. Patron deux doubles cafés et un paquet de Gitane.

Le garçon apporta la commande

- Allez. Acceptez ce café comme gage de mon mea-culpa…Une cigarette ? Ne me dites pas que vous n’avez jamais fumé ?!
- Je n’ai jamais fumé. Répliqua-t-elle en souraint crânement.
- Mais quel âge avez-vous ?!
- On ne vous a jamais dit que c’était impoli de demander son âge à une femme ?
- Avec vous, je peux encore…
- X ans et toutes mes dents.
- Et tout, et tout…murmura-t-il d’un air entendu et malicieux…Jeune fille, soyez téméraire ! Fumez votre première cigarette pour acquérir le droit d’avoir un avis sur le sujet…

Il lui tendit le paquet ouvert, filtre avancé. Elle saisit la cigarette offerte. Il présenta la flamme de son briquet. Elle bouffeta. Souffla la fumée.

- Alors, vous voyez, pas morte !
- Ni chaud, ni froid.
- Content de vous avoir appris quelque chose.
- Appris. C’est vite dit.
- Mais je suis à votre disposition pour vous en apprendre des tas !

Ça elle l’avait déjà entendu maintes fois. Son regard se fit revolver. Son visage se ferma. Elle écrasa sa tige dans le cendrier.

- Pardon. Je ne le ferai plus. Copains ?
Il avait l’air sincère.

Elle sourit maternellement.
- ¨Puisque vous voulez m’apprendre quelque chose…parlez-moi de votre travail. que faites-vous ? Intéressant ? Des problèmes ?

(A suivre – p165) - ©

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SAUVAGE

giflfotat.gifCette année-là elle commença réellement à découvrir la diversité de  la nature humaine.
Deux heures par jour dans le bar d’une très grande ville cosmopolite vous permettent d’observer beaucoup de caractères. Des habitués. Des gens du quartier. Des travailleurs de différents secteurs. Des étudiants de maints milieux sociaux.

D’abord elle ne fut pas à l’aise dans ce lieu public.
Mais elle ne pouvait pas rester deux heures dehors à attendre la reprise des cours.
Elle arrivait rapidement pour se faufiler vers le place la plus discrète. Au fond, dans un coin du bistrot.
Ensuite elle relisait ses cours pour l’après-midi.
Enfin son journal ; qu’elle annotait souvent. Ou dont elle soulignait des paragraphes au stabilo-boss.

- Oh. toujours dans son petit coin. Et sérieuse !

Elle releva la tête de son canard. Réprobatrice.

- Je vous offre un café ? Je peux m’asseoir ? La salle est bondée.

Elle jeta un rapide coup d’oeil circulaire.

- Ah vous n’avez pas d’échappatoire aujourd’hui ! Un café ?
Il s’assit.
Voilà plusieurs semaines qu’il essayait d’engager la conversation.
Qu’elle changeait de place sans répondre.

- Faut pas être sauvage comme ça ! D’autant qu’avec de si beaux yeux et un tel sourire vous pourriez faire des ravages !
- Je ne tiens pas à faire des ravages.
- Pas soixante-huitarde pour deux sous alors ?…Ah je vois, romantique. Le grand amour pour la vie ! Il rit. Et vous l’avez rencontré l’heureux élu ?
Il rit plus fort encore.

(A suivre – p.164) – ©

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12345...18

Il était une fois…

Puisse cette histoire intimiste
vous apporter un peu d'évasion
vous rappeler des souvenirs
ou vous amener à méditer sur la société de consommation...

Auteur:

lunebleue

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Epitaphe

Celui qui cy maintenant dort
Fit plus de pitié que d'envie
Et souffrit mille fois la mort
Avant que de perdre la vie.

Scarron